Dans cet ouvrage, l'auteur prolonge sa critique de la société industrielle en dénonçant la servitude née du productivisme, le culte de la croissance et de la réussite matérielle. Pour répondre à la menace d'une apocalypse technocratique, il propose la redécouverte de l'espace du bien-vivre ou convivialité, voie par laquelle les sociétés s'humaniseront.
Une critique du système de santé dans laquelle l'auteur souligne l'inefficacité globale d'une médecine coûteuse, la perte de la capacité personnelle des individus de s'adapter à des environnements variés et le mythe de l'immortalité qui conduit au déni de la douleur, du vieillissement et de la mort.